Les parties prenantes se sont réunies pour discuter du fonctionnement de la coopération dans le cadre d’une approche mobilisant l’ensemble de la société et des acteurs gouvernementaux pour intégrer les stratégies mondiales en matière de protection de la biodiversité et de lutte contre les changements climatiques, la dégradation des sols et la pollution.
Le Secrétariat de la Convention de Minamata, les secrétariats d’autres accords multilatéraux sur l’environnement, les organismes concernés des Nations Unies et d’autres parties prenantes se sont réunis à l’occasion de la Journée de la coopération afin de renforcer la collaboration sur des questions d’intérêt commun en matière de gestion de la biodiversité et de la pollution. Cette journée a permis de souligner qu’il convient d’adopter une approche et des mesures communes pour mettre en œuvre les différents accords multilatéraux sur l’environnement, afin de protéger l’environnement et de trouver des solutions aux enjeux communs, y compris la pollution par le mercure.
Dans son allocution d’ouverture, la Secrétaire exécutive de la Convention de Minamata, Monika Stankiewicz, a déclaré : « Il apparaît clairement, ici à Cali, que les représentants des accords multilatéraux sur l’environnement peuvent et doivent s’exprimer d’une seule voix sur les questions les plus importantes, à savoir l’approche visant à mobiliser l’ensemble de la société et des acteurs gouvernementaux. Il s’agit de mettre l’accent sur les personnes les plus touchées par les changements climatiques, la perte de biodiversité, la dégradation des sols et la pollution, y compris par le mercure. »
Mme Stankiewicz a également mis en évidence le rôle essentiel d’une diversité de parties prenantes dans la collaboration visant à mettre fin à la pollution par le mercure, en accordant la priorité à ceux qui sont touchés de manière disproportionnée par la triple crise planétaire des changements climatiques, de la perte de biodiversité et de la pollution.
« Il y a tant de groupes de la société civile, ici à Cali, qui représentent les peuples autochtones, les femmes, les groupes de jeunes, les ONG ou encore les communautés locales. Tous sont très préoccupés par la pollution par le mercure et œuvrent activement à son élimination, et nous avons une occasion unique de mettre sur pied un grand partenariat pour leur permettre de contribuer aux travaux de la Convention de Minamata », a-t-elle déclaré.
Les parties prenantes se sont réunies pour discuter du fonctionnement de la coopération dans le cadre d’une approche mobilisant l’ensemble de la société et des acteurs gouvernementaux pour intégrer les stratégies mondiales en matière de protection de la biodiversité et de lutte contre les changements climatiques, la dégradation des sols et la pollution.
Lisez ici l’article du bulletin d’information Earth Negotiations Bulletin (ENB) consacré à la Journée de la coopération qui s’est tenue lors de la COP-16 sur la diversité biologique des Nations Unies.